Bonjour Serge, merci de me recevoir.
Lors de notre précédente rencontre, vous nous avez permis de mieux vous connaître et surtout, vous nous avez permis de comprendre un peu mieux votre métier et de découvrir le monde de la Cryptomonnaie. Comme tout business s’annonçant exceptionnel et à quelques jours du lancement de votre nouveau projet (1er juin 2019), les premiers détracteurs commencent à poindre.
Par ignorance ou par jalousie, les premiers « Fake » vont très certainement s’accélérer.
Par respect pour vos clients et investisseurs, vous avez choisi de prendre du temps pour rétablir la vérité sur certaines rumeurs et diffamations.
Je vous remercie de nous avoir choisi pour cette nouvelle et dernière interview.
Car comme vous me l’avez confié : « Seul le marché répondra à ces détracteurs ».
SA : LE JOURNAL DU COIN PRÉTEND LIER LA SOCIÉTÉ FLASHMONI À UNE COMPAGNIE PROPOSANT DES PRODUITS À VENDRE EN RÉSEAU. SELON CE JOURNAL FRANCO-FRANÇAIS, CETTE COMPAGNIE EST SUPPOSÉMENT « PYRAMIDALE » ET S’APPRÊTE À LANCER SA MARKETPLACE, QUE RÉPONDEZ-VOUS À CELA ?
Serge Lobreau Flashmoni : Nous, à Flashmoni, ne voulons absolument pas être associés à un quelconque établissement de vente dite « pyramidale ». Notre business model est simple : apporter une solution technologique propulsée par la blockchain afin de faciliter l’adoption massive de cette technologie et surtout permettre une inclusion financière. Nous sommes une solution sur le secteur de la monnaie digitale et possédons toutes les licences nécessaires pour opérer sur ce secteur. Nous sommes régulés par la législation estonienne.
SA : CE MÊME JOURNAL ET L’AUTEUR DE L’ARTICLE QUE NOUS AVONS LU, PRÉTENDENT QUE LE SECTEUR DE LA BLOCKCHAIN ET de la CRYPTOMONNAIE EST EN MAJORITÉ COMPOSÉ DE SOCIÉTÉs « PONZI »
Serge Lobreau Flashmoni : Je suis en partie surpris de cette affirmation. Tout d’abord, je pense que certains fondamentaux doivent être revus. La Blockchain, appelée également DLT ou distributeur ledger technology, est une technologie qui bouleverse notre système de double entrée classique en y incorporant une troisième composante qui est une immutabilité de l’information contenue dans le registre. Cela permet de révolutionner un pan, si ce n’est toute l’économie et son mode de fonctionnement dans les années à venir. On assume dès le départ que l’on se situe dans un environnement sans confiance et le système est là pour garantir les intérêts des parties. Ceci est une autre explication complémentaire à toutes celles que vous allez trouver sur internet. La cryptomonnaie est juste une composante de cette technologie appelée blockchain donc qualifier cette technologie comme propice aux Ponzi et autres mécanismes illégaux est tout simplement une méconnaissance totale du sujet. Je consens toutefois que comme dans tout nouveau secteur, il y a des abus et des excès. Mon leitmotiv est de ne jamais investir dans quelque chose que je ne comprends pas, ce n’est malheureusement pas le cas de tout le monde ! Beaucoup de personnes attirées par l’appât du gain se tournent vers des propositions ubuesques, mais cela reste leur droit ! Nous avons vu des ICOs comme Jesuscoin lever quelques millions. Franchement, lorsque vous tombez sur ce genre de choses prétendant vouloir décentraliser Jésus Christ, cela peut paraître risible. Cependant, il faut toujours creuser et aller plus loin que cela pour déterminer si oui ou non le projet est solide sans faire de procès d’intention en s’arrêtant sur le look ou les origines du CEO de la compagnie… (dans notre secteur le formalisme vestimentaire a été jeté par la fenêtre, beaucoup de CEO sont en short et t-shirt ! Ce que j’approuve à 100%).
SA : SELON CET ARTICLE VOUS PRÉTENDEZ ÊTRE LA NOUVELLE CRYPTOMONNAIE QUI VA TOUT RÉVOLUTIONNER, OR VOUS DISSIMULERIEZ UN HABILE SYSTÈME PONZI. QUE RÉPONDEZ-VOUS ?
Serge Lobreau Flashmoni : Apparemment, l’auteur de cet article se mélange un peu les pinceaux. Vous n’avez qu’à aller jeter un coup d’œil sur nos différents produits : la blockchain que nous avons créée et le coin OZTG qui la propulse ! Nous n’avons jamais tenu de tels propos. Nous sommes une espèce de PayPal, nous apportons une solution financière en utilisant une nouvelle technologie. Venir nous faire un procès d’intention sur une société qui utiliserait notre système et qui, à notre connaissance, est plus que respectable me semble être quelque peu du travail d’investigation bâclé. En effet, l’auteur confond l’apporteur de la technologie avec le client, utilisateur du service.
SA : SELON L’ARTICLE DU JOURNAL DU COIN, VOTRE ICO DE MARS 2018 SERAIT BANALE ET BANCALE, QUE RÉPONDEZ-VOUS ?
Serge Lobreau Flashmoni : Je réponds là encore que le manque d’informations du rédacteur, intentionnel ou non (ce qui serait beaucoup plus grave pour un article de ce genre) doit être rectifié. Je vais répliquer au rédacteur de cet article l’objet de notre solution, car il semble lire, mais apparemment ne pas y comprendre grand-chose. Cela est inquiétant pour un soi-disant expert français dans sa discipline. Surtout quand le nombre d’ICO françaises peut se compter en dizaines, lorsqu’à l’échelle planétaire, cela représente quelques dizaines de milliers.
Flashmoni est une solution fintech propulsée par sa propre blockchain ozeety.com proposant un coin indexé sur le prix LMBA de l’or. Flashmoni offre également une solution de paiement innovante couplée à un smartcontract valorisant les datas de ses utilisateurs en leur rétribuant une quote-part. Bien entendu, la société arrive également avec des solutions hardware comme la smartcard (qui n’existe pas sur le marché réel), mais également la cryptostation. Le marché cible de la compagnie sont les personnes non bancarisées, sous-bancarisées et même bancarisées afin de réaliser notre vision représentée par notre slogan « Financial vision and Beyond ! »
Nous pouvons comprendre que toutes ces features sont banales et bancales pour l’auteur du Journal du Coin. Après tout, chacun voit midi à sa porte. Ce média et cet auteur auraient apparemment une connaissance plus accrue sur le sujet en n’ayant pas participé à notre ICO ou même sans en avoir réalisée une ? Nous pouvons accepter la critique de détracteurs, mais jamais les propos diffamatoires de l’article dont vous faites mention fait preuve.
Nous avons été cités dans beaucoup de médias, notamment Forbes ou Sina, un des plus gros médias en ligne chinois : http://finance.sina.com.cn/stock/t/2018-02-08/doc-ifyrkrva5150734.shtml
Notre marché n’a jamais été le marché français, considéré par beaucoup comme pas suffisamment mûr pour ce type de technologie. En lisant l’article dont vous me parlez, je ne peux que comprendre que la France gagnerait à avoir plus d’experts sur la question qui ont expérimenté de l’intérieur ce genre de compagnie. Malheureusement, ils sont très peu nombreux et c’est bien dommage, car au vu de tous les événements récents dans ce pays, un changement de paradigme, et notamment dans ce genre de secteur, apporterait beaucoup à la population.
J’ajoute, pour finir, que je souhaiterais que l’auteur de cet article nous trouve une seule ICO ou projet arrivant avec un écosystème similaire au nôtre !
SA : APPAREMMENT MÊME DU COTÉ DE VOTRE « TOKEN ECONOMY » LES CHOSES SERAIENT AUSSI TRÈS BANALES, QUE RÉPONDEZ-VOUS ?
Serge Lobreau Flashmoni : Là encore, permettez-moi d’expliquer le mécanisme qu’apparemment cet auteur trouve banal. Le Token utilisé pour la levée de fonds, et finalement distribué en septembre 2018, il s’appelle OZTG. Voici l’adresse du smartcontract : 0xa5a6d719db51513eccce9e150a4e9979e0062c5b.
Avec 11 942 contributeurs (sur 24k inscrits) validés par KYC/AML, notre levée de fonds a été faite sur le marché anglo-saxon, bien plus connecté à ces nouvelles technologies. Nous avons donc un nombre très limité, de contributeurs francophones (moins de 0,02% !).
Il y a quand même une différence notable dans notre « token economy ». Là encore, on doit réexpliquer à l’auteur de cet article son fonctionnement. Même s’il essaie, tant bien que mal, de le saisir, un peu plus loin dans son article.
Le secteur de la cryptomonnaie est rongé par un mal qui ne permet pas son adoption globale. Ce mal principal, car il y a plusieurs maux, c’est la volatilité !
Quand vous construisez une solution que vous souhaitez faire adopter par la masse, vous devez vous assurer que le cours du coin qui propulse votre solution soit relativement stable. Il faut réduire la vélocité de la volatilité, car cette dernière sera toujours une composante de ce business model.
Donc contrairement au plus de 2 000 Coins et Altcoins listés sur Coinmarketcap, nous avons cherché un moyen de réduire cette vélocité.
De plus, demandez à la plupart des gens dans le secteur de la cryptomonnaie de vous expliquer, par exemple, le mécanisme qui mène à l’établissement de la valeur intrinsèque de leur Coin ou Token, la plupart vous répondront qu’ils l’ont décidé de manière arbitraire (au pif quoi !). De notre côté, nous avons décidé de faire autrement et nous avons créé 2 coins.
L’un est privé et asset-backed. Ni tradable, ni échangeable, c’est une représentation digitale de l’or physique détenu par notre partenaire membre de notre groupe.
Le second Coin, qui est lui tradable, échangeable et nécessaire à l’utilisation de notre écosystème, est indexé sur le Coin privé à 1/20 de sa valeur ainsi donc :
Coin privé : OZG = 1 grain, qui est une subdivision de la méthode métrique de l’or. Il faut 480 grains pour avoir une once d’or…
Coin public : OZTG = 1/20 de OZG 1 grain égal environ à 2.7 $ = 0.0647989 gramme.
Comme notre partenaire, membre de notre groupe, a accès à 2400kg d’or nous avons donc décidé de créer 730 millions de OZTG d’une valeur intrinsèque de 0.13$, ce qui correspond à 100 millions de dollars.
Nous avons suivi le règlement « avoir du poids » défini par « l’international yard and pound » de 1959 encore en vigueur aujourd’hui :
- 1 grain : 20 mites
- 1 mite : 24 droits
- 1 droit : 20 perits
- 1 perit : 24 blanks
Par conséquent, nous avons simplement choisi de calquer le Coin privé sur le « Grain » et le Coin public sur le « Mite ». Ainsi, il devient beaucoup plus simple d’expliquer d’où vient la valeur intrinsèque de notre Coin. Un peu de vraies informations n’ont jamais fait de mal ! Selon l’auteur du Journal du Coin, notre procédé est donc banal et largement utilisé dans le secteur de la cryptomonnaie. Je lui demande là encore des exemples concrets nous précédant, car nous avons été copiés !
SA : SELON L’AUTEUR DU JOURNAL DU COIN, VOTRE SOCIÉTÉ ANNONCE, EN FIN DE ICO, AVOIR LEVÉ UN MONTANT DE 72 MILLIONS DE DOLLARS, SOMME QUI SELON EUx PARAÎT TOTALEMENT IRRÉELLE FACE AU DOWN MARKET DE L’ÉPOQUE. QUE RÉPONDEZ-VOUS ?
Serge Lobreau Flashmoni : Je réponds tout d’abord qu’on ne s’auto proclame pas avoir levé telle ou telle somme. Ce sont des sites spécialisés sur ce mode de levée de fonds qui font la plupart du temps le travail. Beaucoup surveillaient les ICOs il y a encore 1 an et reportaient le montant qu’ils avaient vu sur les différents wallets collectant les fonds. Dans notre cas, nous avons apporté, en supplément des cryptos levées, des éléments internes à la compagnie pour montrer la quote-part en Fiat currencies qui représentait plus de 62% à l’époque. Beaucoup nous ont classés dans le top 10 en termes de ratings et de montant ! Une honorable place de numéro 7 sur 10 pour le mois d’avril 2018 pour le TOP 10 des ICOs réussies. Donc, vous voyez, il y a eu des ICOS beaucoup plus « successful » que la nôtre, peut être ignorée à l’époque par l’auteur de cet article puisque 99,99% sont opérées hors de l’hexagone. J’ajoute encore une fois que l’auteur oublie de dire que cette période a aussi connu la hausse la plus élevée pour les cryptocurrencies. Nous avons même atteint plus de 19K $ en début 2018. Notre montant aurait même pu être plus élevé si le marché s’était maintenu ! Et contrairement à ce que l’auteur affirme, ce ne sont pas les scams qui ont conduit à ce marché baissier. Je ne vous ferai pas l’affront de prétendre connaître les origines qui poussent le secteur de la crypto à la hausse ou à la baisse, mais étant moi-même dirigeant d’une fintech, utilisant cette technologie je commence à appréhender mon marché. Mais bien malin sera celui qui prédira avec exactitude les mouvements de ce secteur et avec ce que je viens de lire dans cet article, ce n’est définitivement pas le bon endroit pour s’informer sur ces choses.
SA : SELON L’AUTEUR DE L’ARTICLE, VOTRE POLITIQUE MARKETING ET LES RÉSEAUX SOCIAUX QUI PRÉSENTENT VOTRE SOLUTION AINSI QUE LES GENS COMPOSANT VOTRE ÉQUIPE ONT TOTALEMENT DISPARU, EST-CE LA VÉRITÉ ?
Serge Lobreau Flashmoni : Là encore cet auteur brille par son ignorance excusez-moi du terme, mais on a là, apparemment, quelqu’un qui ignore totalement ce qu’il se passe dans une post ICO. Lorsque la nôtre s’est terminée, le temps de délivrer ce que l’on avait promis à nos 11K contributeurs était venu. Ils n’ont pas eu à questionner le montant levé, puisque comme monsieur le sait lorsque vous envoyez de l’argent lors d’une levée vous avez accès aux multiples portefeuilles récepteurs et vous pouvez donc voir le solde du wallet. Par ailleurs, les membres de Flashmoni ont eu la bonne idée de faire un « smart money management » en panachant les montants récoltés entre monnaies fiat (euros, usd, etc.) et cryptomonnaies (BTC, ETH, Monero, Ripple, LTC). Comme je vous l’ai expliqué plus haut, mais cela l’auteur ne pouvait pas le savoir, puisqu’il n’a jamais investi dans notre ICO et pour cause il n’est pas dans notre cœur de cible. Je doute même qu’il ait participé à une quelconque ICO sauf en tant que « airdroper » …
Comme tout le monde le sait, lorsqu’une société lève ce genre de montant, des soucis apparaissent et des avis divers émergent sur la manière d’utiliser les fonds. Je ne rentrerai pas dans les détails ici, car une instruction est d’ailleurs en cours au Portugal par rapport à un ancien employé indélicat renvoyé pour incompétence qui a choisi de se faire justice en diffamant ma compagnie et moi-même. Le temps de la justice est long, mais au final les absurdités proférées ne rendront la décision que plus facile en notre faveur. J’ai par ailleurs, moi Serge Maurice Lobréau, CEO à l’époque (puisque je suis désormais président fondateur du Flashgroup et mon nouveau CEO Mr Patel assume cette fonction depuis peu), décidé de réorganiser mon équipe, de me séparer de ceux qui n’avaient rien à faire dans notre compagnie en recrutant d’autres personnes qui souhaitaient la faire avancer. Certains sont partis de leur propre chef et d’autres pour divergence de stratégie, j’assume tous mes choix !
Par ailleurs les sites Facebook, Instagram, Twitter et YouTube sont toujours en ligne. Il suffit de taper Flashmoni sur tous ces réseaux. Si l’auteur le souhaite, je communiquerai les liens un peu plus loin dans cet article.
SA : L’AUTEUR DE L’ARTICLE DU JOURNAL DU COIN NOUS PRÉSENTE DANS L’ARTICLE UNE DÉMONSTRATION QU’IL SOUS-ENTEND IMPLACABLE SUR LA RÉPARTITION DES FONDS ET POINTE DES INCOHÉRENCES, QUE RÉPONDEZ-VOUS ?
Serge Lobreau Flashmoni : Tout d’abord, je souhaite souligner qu’il y a eu des distributions de bonus. L’auteur a plagié nos visuels, mais a apparemment du mal à les lire, les bounties et autre bonus étaient compris dans notre budget.
Avec son procédé, l’auteur de cet article tourne au ridicule la réalité du terrain lorsqu’une société acquiert un actif de ce type. Cette démonstration pointe juste le fait qu’il ignore totalement les process de ce milieu, mais pour ce manque d’expérience sur le marché des commodités nous ne pouvons pas lui en vouloir. Prendre un prix de marché LMBA est sa première erreur et faire des calculs simplistes et scolaires est sa seconde erreur.
Nous connaissons notre marché et si nous nous sommes lancés dans cette affaire, c’est parce que nous savions quel prix nous pouvions obtenir pour chaque kilo acheté (bien en deçà du prix du marché). Mais certaines informations scellées par des NDA et contrats avec nos partenaires ne peuvent être révélées, même s’il ne fallait pas avoir fait Saint-Cyr pour comprendre certains mécanismes basiques et primaires du trade. Surtout quand aucun intermédiaire n’existe entre le vendeur des commodities et l’acheteur !
Il ignore également par exemple que dans quelques trimestres (cela prend du temps de mettre en place toute cette logistique) un audit sera publié afin de pouvoir montrer à la communauté l’état des stocks de notre « global custodian » par un des cabinets (top 4) d’audit avec une première publication cette année.
L’auteur ignore même le mécanisme de vote au sein de notre blockchain pour décider si on reverse les gains générés par notre écosystème ou si la communauté décide d’acquérir plus d’assets afin de continuer à ajouter des kilos chez le global custodian. Tout ça dans le but de devenir l’une de ces sociétés asset-pegged qui possède le plus d’or physique et non papier.
Cet auteur ignore même à quoi cela sert de rajouter continuellement cet asset ! La réponse, je vais la lui donner ! Cela sert à pouvoir augmenter la quantité d’or physique détenue par le Coin privé et cela augmente également, après effet domino, la valeur de l’OZTG indexé. Cela conduit à une recherche permanente pour combler le gap entre la valeur intrinsèque et ce que l’on appelle la valeur marché qui sera donnée par le jeu de l’offre et de la demande et les différents échanges sur lesquels notre Coin sera listé dès juin 2019 ! Donc les raccourcis que fait cet auteur sont inquiétants pour la renommée de ce média digital spécialiste de la crypto sur le marché francophone.
Ce monsieur n’ayant certainement donc jamais participé à une ICO, et certainement pas la notre, ignore que la structure qui a collecté les fonds était à Singapour et que c’était là sa seule mission. Ensuite, cette structure transfère les fonds à une holding qui est chargée d’acheter l’asset et qui le place dans un global Custodian qui ensuite « contract » avec Flashmoni pour pouvoir lui assurer un backing du OZG et donc une indexation du OZTG, CQFD. Mais là encore nous ne pouvons que pardonner l’ignorance de cet auteur, ou sa vision partielle intentionnelle avec sa démonstration, qui affirme que la société serait aller acheter son asset à la banque postale de Dubai !!!
Pour finir sur cette question notre auteur manque d’informations et cela devient très embarrassant. Selon le mécanisme expliqué plus haut, le global custodian fait son travail et acquiert l’asset auprès de différents organismes. Par ailleurs, le projet futur est d’exploiter des terrains et de « miner » afin de permettre à cette société de pouvoir acquérir cet asset dans de bonnes conditions, mais cet auteur ignore totalement la manière dont cela se passe. Ce choix d’exploiter nos mines nous-mêmes est motivé par la conviction profonde que les méthodes doivent changer et l’on ne doit pas répliquer les méthodes utilisées par certaines mines pour extraire ces minéraux précieux ! Cela a des répercussions sociétales et environnementales catastrophiques et je sais de quoi je parle pour y avoir passé énormément de temps ces six dernières années. Notre groupe ne pouvait tolérer cet état de fait, c’est la raison pour laquelle on travaille sur un label « Green Gold ». Notre blockchain sera utilisée pour pouvoir tracker d’où vient l’or qui est acquis par notre global custodian et l’on va pouvoir tracer la mine d’où provient l’asset, la raffinerie, les conditions de travail des mineurs, car tous les lecteurs de cet article ont tous des smartphones, mais ignore complètement que ce smartphone avec la marque à la pomme par exemple et les autres ne fonctionneraient pas sans le Coltan. Je les invite à regarder ou à visiter, comme je l’ai fait, les conditions dans lesquelles ces minerais sont exploités, de regarder à quel point ces mineurs souffrent pour que notre monde occidental prospère !
SA : CERTAINS SOULIGNENT LA CONFUSION ENTRE OZT ET OZTG POUVEZ VOUS NOUS ÉCLAIRER ?
Serge Lobreau Flashmoni : Bien, le token OZT était le token pendant les phases de tests, les contributeurs ont reçu des OZTG !!! L’adresse publique est ici :
0xa5a6d719db51513eccce9e150a4e9979e0062c5b
De plus, il y avait pléthore de tokens ERC20 appelés OZT donc pour plus de clarté nous avons décidé de nommer notre Token OZTG.
SA : IL Y A DES QUESTIONNEMENTS SUR L’ÉQUIPE ORIGINELLE DE VOTRE ICO POUVEZ-VOUS NOUS DONNEZ DES EXPLICATIONS ?
Serge Lobreau Flashmoni : Bien sûr, notre équipe est beaucoup plus large que celle que l’auteur décrit à dessein pour essayer de minimiser les qualités et les talents avec lesquels je travaille tous les jours. Par ailleurs, il commet encore des impairs puisqu’un certain Gérard figure dans la liste. Or, je ne connais pas cette personne, il doit certainement faire partie des nombreux ambassadeurs qui ont cru en notre projet et l’ont promu sur les réseaux sociaux (plus de 8600 Flash ambassadeurs). S’il veut une idée des personnes qui ont participé de près ou de loin à notre ICO il devrait regarder les vidéos sur YouTube, pour cela c’est simple il suffit de taper FLASHMONI ICO sur YouTube ! Par ailleurs, il n’y a qu’un seul fondateur et c’est moi Serge Maurice Lobréau !
SA : L’AUTEUR PARLE ÉGALEMENT DE VOTRE PARCOURS ET LE QUALIFIE DE COMPLEXE, POUVEZ-VOUS NOUS ÉCLAIRER ?
Serge Lobreau Flashmoni : Tout d’abord le qualificatif bodybuildé qui fait référence à mon physique, car apparemment c’est la seule attaque qu’il reste à cet auteur, est tout simplement abject et dépourvu de tout sens moral. Par ailleurs, certains propos dans son article sont diffamatoires, notre équipe légale est déjà au travail et ne manquera pas de faire falloir nos droits tant sur les propos racistes cachés dans cet article que sur la violation de notre propriété intellectuelle avec la reprise de beaucoup d’éléments protégés.
Mon CV est tout à fait normal pour une personne ayant fait un master en Gestion/finance, il n’a rien d’impressionnant ! On sent tout de même une pointe de jalousie ou une haine profonde qui ressort de je ne sais où de la part de cet auteur du Journal du Coin, ce qui est vraiment étonnant dans le cadre où nous n’avons pas eu à faire ce monsieur. Nous ne savons d’ailleurs pas à quoi il ressemble, car sur la plupart de ses réseaux sociaux il se représente en animal ce qui est une insulte à nos chers compagnons d’ailleurs.
L’auteur ne fait apparemment pas correctement ses devoirs, d’où le fait peut-être qu’il considère mon CV bodybuildé pour quelqu’un de mon origine… S’il savait lire correctement et comprenait l’anglais, il aurait dû comprendre que nulle part dans cette présentation de compagnie il n’est fait mention d’une cotation en bourse !
Je suis diplômé et j’ai de l’expérience en gestion financière. Je suis un ancien banquier également. Peut être devrais-je publier mes fiches de salaires et mes diplômes ? Je continue de faire tout ce que j’ai toujours dû faire tout au long de ma vie : c’est-à-dire travailler 2 fois plus que les autres pour prouver que je suis à la hauteur, car avec mes origines je partais toujours avec un handicap. D’où mon choix de la Grande-Bretagne comme pays lorsque j’ai été diplômé où la condition des candidats et leurs origines importent peu !
SA : APPAREMMENT L’AUTEUR PARLE D’UN DE VOS ANCIENS ASSOCIÉS QUI SERAIT FÂCHÉ, ET PARLE ÉGALEMENT D’UNE SOCIÉTÉ QUE VOUS N’AURIEZ PAS PAYÉE. PAR AILLEURS, IL PARLE D’UN SIGNALEMENT à L’AMF, CAR VOUS PRÉTENDEZ POSSÉDER UNE LICENCE, QU’en EST-IL ?
Serge Lobreau Flashmoni : Là encore ce monsieur puise ses infos sur un site diffamatoire dont j’ai parlé plus haut dans cet article. Par ailleurs ce monsieur portugais et son complice brésilien (recherché par Interpol) n’a jamais été un associé, c’était un employé que j’ai renvoyé pour les raisons expliquées plus haut et qui pour se venger a vomi sa haine sur un site achetant mon nom à l’aide de mes documents d’identités qu’ils s’étaient procurés, car je lui avais donné pour qu’il puisse accomplir des actes administratifs en mon nom. Il semble qu’il ait conservé des copies ! Ce monsieur est en passe d’être condamné par les autorités portugaises au pénal et au civil pour diffamation, usurpation d’identité, tentative d’extorsion, abus de confiance, car nous lui avions donné les pouvoirs pour les tâches administratives et l’ouverture de notre branche portugaise. Quelle fut notre surprise quand finalement à la fin de la levée et la vérification de certains comptes nous nous sommes aperçus de nous être fait voler plus de 100k euros avec de fausses factures et un système de rétro commissions ! Donc, j’avais là un incompétent et un escroc dans une situation financière catastrophique prêt à tout pour récupérer une part de l’énorme levée de fonds. J’ai décidé de laisser la justice se prononcer même s’il est vrai que selon l’adage : « la vérité prend les escaliers lorsque le mensonge et la calomnie prennent l’ascenseur… »
Quant à la société que cet auteur mentionne je dis hourra ! Enfin une info exacte, effectivement j’assume : je n’ai pas payé complètement cette société et je vais expliquer pour quelle raison.
Le secteur dans lequel nous opérons étant très spécialisé, il existe très peu de sociétés de services ayant pignon sur rue. La société citée a été utilisée pour auditer notre smartcontract et a été payée près de $15k pour cela. Ensuite, lorsque l’heure de la distribution est arrivée nous avons recontacté cette société afin qu’elle automatise un smartcontract qui nous permettrait de payer tous nos contributeurs en une fois. Arguant de la complexité de la méthode et voyant à quel point nous étions pressés, ils ont tenté leur va-tout et nous ont demandé $68K. J’ai accepté, car notre communauté commençait à s’impatienter. Un souci est survenu dans le transfert en direction des États-Unis, car comme vous le savez peut-être les fintech labellisées « crypto » opérant dans le secteur financier ne sont pas très appréciées des établissements financiers qui voient en elles des potentiels concurrents.
Ce rejet de la banque a été salutaire puisque nous avons appris par un nouveau membre de notre équipe en Asie que la manœuvre était en fait très simple et que 10 minutes suffirait pour le faire ! A ce moment, on se pose des questions : soit notre nouveau partenaire est un génie et il a raison, soit on était en train de se faire avoir puisqu’en plus la compagnie devenait insistante et souhaitait se faire payer en Cryptos. En bon entrepreneur j’ai joué la montre pour voir si ce que mon développeur affirmait pouvait être vrai et quand j’ai constaté qu’effectivement cela allait me couter 2K en frais, j’ai décidé purement et simplement de ne pas honorer cette facture complètement malhonnête. J’assume ce choix en mon nom, mais aussi au nom des personnes qui nous ont fait confiance et ont contribué à notre ICO. Nous avons eu deux autres soucis similaires de factures irréelles avec une société de PR américaine et une autre de prestations de services. Je le répète : j’assume complètement mes choix !
Le dernier point de votre question parle du fait que j’aurais proféré avoir une licence à l’AMF !
Écoutez, je suis tout simplement sidéré, car ce monsieur a une totale méconnaissance sur ce secteur ce qui est encore une fois inquiétant. Il n’existe pas de licence AMF pour notre secteur d’activité, ni en France ni dans beaucoup d’autres juridictions. Je n’ai jamais écrit ou dit quoi que ce soit concernant le fait que nous étions en détention d’une telle licence en France. Nos avocats se rapprochent également de l’AMF afin de dénoncer les propos publiés dans ce média. Je demande à cet auteur de nous apporter ces publications ou les vidéos où l’on me voit tenir de tels propos, moi Serge Maurice Lobreau. D’ailleurs, ma dernière expérience en France était en tant que conseiller financier auprès des professionnels qui connaissent particulièrement bien le système financier français.
SA : L’AUTEUR DE L’ARTICLE DU JOURNAL DU COIN DIT ÉGALEMENT QUE VOUS AURIEZ DISPARU au MILIEU de l’année 2018 ET QUE SOUDAINEMENT UNE SOCIÉTÉ DE NETWORKING APPARAÎT. IL SOUS-ENTEND, D’APRÈS CE QUE JE COMPRENDS, QUE FLASHMONI AURAIT FAIT PEAU NEUVE ET serait REVENUE SOUS UN AUTRE NOM, POUVEZ-VOUS NOUS ÉCLAIRER LÀ-DESSUS ?
Là encore, que des contre-vérités, mais cet auteur serait au courant s’il suivait notre Twitter et notre compte médium qui est bel est bien là comme tout le reste. Voici d’ailleurs les liens des principaux :
https://twitter.com/Flashmoniltd
https://www.youtube.com/watch?v=zJmww8OMWRQ&t=118s
https://www.youtube.com/watch?v=GtFWf8W5aJ0&list=PLZbROjDZ8YA_LLtzlOrNViIE9GRi0-tYT
https://www.youtube.com/watch?v=_4ZRAHgBSdU
https://www.youtube.com/watch?v=sPa3jwCYyHg
Par ailleurs, nous n’avons pas disparu, nous étions en phase de développement. Chose que cet auteur ignore puisqu’il n’est pas abonné à notre newsletter et pour cause, il n’est pas un contributeur de notre levée de fonds. Le 14 mai 2019, nous avons délivré notre propre Blockchain. Le développement d’une telle solution prend du temps et des ressources pour des raisons évidentes que vous pourrez comprendre en lisant les publications de notre blog et de nos autres médias. Par ailleurs, nous étions également occupés dans l’organisation du premier événement rassemblant exclusivement des sociétés cryptos proposant un business model avec des Coins asset-pegged ou backed ou encore apportant une réelle valeur ajoutée. Cela a nécessité de longs mois de préparation, des frais énormes pour finalement que je prenne la décision d’annuler l’événement, car la sécurité et l’intégrité physique des 1500 personnes qui avaient payé leurs tickets, les exposants au nombre de 20 et les sponsors au nombre de 12 n’étaient pas assurés. En effet, la menace de l’ancien employé et de son complice d’attaquer physiquement les participants était sérieuse. De plus, le refus qui nous a été signifié pour la mise en place d’un service d’ordre supplémentaire ainsi que des augmentations astronomiques à quelques jours de l’événement m’a mené à annuler l’événement et rembourser absolument tout le monde (vols, tickets et hôtels), ainsi que les emplacements que les exposants avaient payés !
J’assume également cette décision, car la situation aurait pu être catastrophique. Je ne connaissais pas le pays et je n’étais qu’un étranger. Limiter les pertes, c’est ce que ma formation m’a appris. Les échecs font partis de la vie de l’entrepreneur et je ne regrette rien !
Ensuite, l’auteur du Journal du Coin semble continuer dans sa « théorie du complot » en liant Flashmoni à Flash4PEOPLE.
Si les noms sont assez similaires, les 2 compagnies sont différentes et vont collaborer avec un lien fournisseur-client.
Le système de Flashmoni est une solution d’inclusion financière propulsée par la blockchain avec son propre Coin. Le but d’un Utility coin comme celui de Flashmoni est d’être utilisé ! Nous avons donc décidé de fournir cette solution à notre premier partenaire pour leur marketplace ainsi donc les utilisateurs de leurs services paieront avec une cryptomonnaie asset-pegged au lieu de le faire avec des euros ou toute autre monnaie digitale. Ainsi, ils bénéficieront de tous les avantages de ce secteur où les bénéfices d’utilisation sont considérables.
Notre but est de faire en sorte que notre écosystème ait des utilisateurs et que notre Coin soit adopté par une communauté. Ce partenariat est tout à fait normal. Voyez-nous comme un système complet, nous apportons la technologie à nos utilisateurs, car c’est là qu’est le but de notre coin, nous ne voulons pas qu’il ne serve qu’à ces jeux de spéculation !
Je m’arrêterai là et je laisserai les dirigeants de l’autre compagnie, attaquée par l’auteur du Journal du Coin répondre. Ce sont d’ailleurs des gens formidables qui essayent de faire le bien autour d’eux. J’ai décidé d’accepter cette interview, non pas pour me défendre contre l’auteur du Journal du Coin que je ne qualifierai pas de journaliste, mais pour répondre à mes contributeurs et futurs utilisateurs de notre solution.
Merci beaucoup pour vos questions.
Merci à vous Serge.
Liens qui pourraient vous intéresser :
https://sapiangroup.com/Serge-Maurice-Lobreau.html
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